"Louise Lallier", Reflets de soie

Sylvie a écrit: Les politiques gouvernementales successives ont pensé que si on diminuait le nombre de médecins formés, on diminuerait les dépenses de santé (ce qui, entre nous, est une aberration parce que moins nombreux nous sommes, moins nous passons de temps à faire du diagnostic clinique auprès du patient et plus nous prescrivons d'examens complémentaires onéreux pour être sûr de ne pas rater un diagnostic, sans compter l'absence d'humanité pour le malade!). Sans compter également les salaires du privé qui sont largement supérieurs à ceux du secteur public... Donc nous sommes une bande de vieux schnocks "à principes" à essayer de maintenir l'hôpital public la tête hors de l'eau. Pour combien de temps? That's the question!!!